Pouille obligé d'offrir un sursis à Beye
Le Stade Rennais a vécu un lundi 27 octobre complètement surréaliste. Habib Beye s'apprêtait à partir. Puis non, finalement. Bienvenue dans le théâtre breton, où le scénario change en pleine représentation.
La matinée démarre normalement. Beye dirige l'entraînement sans encombre. Puis vient la convocation. Arnaud Pouille, le président, le veut dans son bureau. Une demande inhabituelle qui ne présage rien de bon.
Selon Foot Mercato, le technicien sénégalais comprend immédiatement. Il aurait même demandé si c'était terminé. La réponse tombe : affirmative. L'aventure rennaise s'arrête là, après cinq matchs sans victoire en Ligue 1.
Beye et son staff commencent alors à rassembler leurs affaires. L'ancien entraîneur du Red Star aurait même fait ses adieux. Il aurait dit au revoir à plusieurs membres du club. Certains joueurs reçoivent également son salut final.
L'atmosphère devient pesante au centre d'entraînement. Chacun assiste, médusé, à ce départ précipité. Le casier se vide. Les effets personnels sont rangés. Tout semble acté.
Mais l'entretien avec Pouille prend une tournure imprévue. Le président opère un revirement spectaculaire. Beye reste en poste. Au moins jusqu'au match contre Toulouse, mercredi soir.
Un sursis accordé au dernier moment. Une décision qui surprend l'intéressé lui-même. Celui qui pensait être licencié récupère finalement son job pour 48 heures supplémentaires minimum.
Cette hésitation s'expliquerait simplement : Rennes ne dispose d'aucune piste concrète pour remplacer Beye. Un choix par défaut, donc. Une solution d'attente qui en dit long sur le fonctionnement interne du club.
Car le problème dépasse largement la personne de Beye. Trois entraîneurs en un an : Julien Stéphan, Jorge Sampaoli, puis Habib Beye. La direction reste muette. Arnaud Pouille, arrivé de Lens avec ses "potes lensois", ne s'exprime jamais publiquement.
Le vrai coupable n'est peut-être pas sur le banc. Il se trouve plus haut dans l'organigramme. Le fonctionnement du Stade Rennais interroge. Cette instabilité permanente, ces décisions à la va-vite, ce manque de projet clair.
Mais plus que l'absence de solution crédible pour remplacer Habib Beye, Arnaud Pouille n'a plus visiblement les cartes en main. En effet, le propriétaire du SRFC aurait lui même mis son véto à un licenciement express de Beye. Preuve un peu plus que Pouille est plus que jamais sur un siège éjectable, et qu'il pourrait bien sauter avant la fin de saison.
La matinée démarre normalement. Beye dirige l'entraînement sans encombre. Puis vient la convocation. Arnaud Pouille, le président, le veut dans son bureau. Une demande inhabituelle qui ne présage rien de bon.
Selon Foot Mercato, le technicien sénégalais comprend immédiatement. Il aurait même demandé si c'était terminé. La réponse tombe : affirmative. L'aventure rennaise s'arrête là, après cinq matchs sans victoire en Ligue 1.
Beye et son staff commencent alors à rassembler leurs affaires. L'ancien entraîneur du Red Star aurait même fait ses adieux. Il aurait dit au revoir à plusieurs membres du club. Certains joueurs reçoivent également son salut final.
L'atmosphère devient pesante au centre d'entraînement. Chacun assiste, médusé, à ce départ précipité. Le casier se vide. Les effets personnels sont rangés. Tout semble acté.
Mais l'entretien avec Pouille prend une tournure imprévue. Le président opère un revirement spectaculaire. Beye reste en poste. Au moins jusqu'au match contre Toulouse, mercredi soir.
Un sursis accordé au dernier moment. Une décision qui surprend l'intéressé lui-même. Celui qui pensait être licencié récupère finalement son job pour 48 heures supplémentaires minimum.
Cette hésitation s'expliquerait simplement : Rennes ne dispose d'aucune piste concrète pour remplacer Beye. Un choix par défaut, donc. Une solution d'attente qui en dit long sur le fonctionnement interne du club.
Car le problème dépasse largement la personne de Beye. Trois entraîneurs en un an : Julien Stéphan, Jorge Sampaoli, puis Habib Beye. La direction reste muette. Arnaud Pouille, arrivé de Lens avec ses "potes lensois", ne s'exprime jamais publiquement.
Le vrai coupable n'est peut-être pas sur le banc. Il se trouve plus haut dans l'organigramme. Le fonctionnement du Stade Rennais interroge. Cette instabilité permanente, ces décisions à la va-vite, ce manque de projet clair.
Mais plus que l'absence de solution crédible pour remplacer Habib Beye, Arnaud Pouille n'a plus visiblement les cartes en main. En effet, le propriétaire du SRFC aurait lui même mis son véto à un licenciement express de Beye. Preuve un peu plus que Pouille est plus que jamais sur un siège éjectable, et qu'il pourrait bien sauter avant la fin de saison.
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